Crise d’adolescence : ta feuille de route de parent pour y faire face
Qui n’a jamais était gratifié d’un regard mi-moqueur, mi-compatissant quand il se présentait comme « parent d’ado », devant faire face à cette fameuse crise d’adolescence.
L’adolescence a mauvaise presse, et notre rôle de parent parait souvent inconfortable, voire ingrat quand il s’agit d’aider notre cher petit à traverser ces années parfois tumultueuses…
Et nul ne pourra le contester : on marche sur des œufs lorsqu’on a un adolescent, à essayer d’en faire trop ou d’en faire moins et en ayant l’impression de se planter dans tous les cas, si on en juge à la mine désespérée ou taquine de notre ado.
Dans l’approche Hand in Hand, on conseille aux parents de devenir à proprement parler l’allié de leur ado.
Ni meilleur pote ni figure d’autorité suprême, c’est une posture qui peut porter à confusion, car autour de nous, on n’a pas toujours eu l’occasion de la voir en action.
Dans cet article, je vais te proposer une feuille de route en 7 étapes pour te permettre d’adopter cette posture.
⚠️ Donc avant même de lire cet article, je t’invite à la télécharger gratuitement en cliquant sur le lien ci-dessous 👇 : au fur et à mesure de ta lecture, tu pourras l’imprimer et la remplir avec un stylo ✍🏻, ou bien directement en ligne : j’ai tout prévu 🤓.
Être l’allié de son adolescent quand on est parent, ça veut dire quoi ?
« Allié, allié », tu vas me dire, mais tu entends quoi par là ?
Même s’il nous fait faire face à sa crise d’adolescence, notre enfant toujours autant besoin de nous
Quand notre enfant rentre dans l’adolescence, on pourrait croire qu’il a beaucoup moins besoin de nous qu’avant : son autonomie est bien plus développée, ses copains jouent un rôle important dans sa vie, et surtout, il semble nous signifier que nous pouvons arrêter d’adopter ce rôle de papa ou de maman poule avec lui.
Mais qu’en est-il vraiment ?
S’il y a bien une chose dont notre adolescent a toujours besoin de notre part, c’est de l’appréciation qu’on lui porte, ainsi que de notre présence, et de l’intérêt qu’on lui témoigne. Il n’y a qu’à voir à quel point une remarque désagréable qu’on lui fait peut faire ou défaire toute sa journée — quoi qu’il en laisse paraitre !
Et cela n’a rien d’étonnant : quand arrive l’adolescence, notre enfant vient de passer les dix dernières années de sa vie à développer sa vision du monde, du point de vue d’un enfant donc. Il va lui falloir maintenant affiner toute cette compréhension qu’il s’était faite, alors que le monde adulte commence à se révéler à lui.
Rien de plus logique, dès lors, qu’il refuse certains de nos conseils, puisqu’il est suffisamment smart pour comprendre que son défi va consister à se forger SA propre vision des choses. En tant que parent, dur alors de trouver la juste distance, entre
▶️ ne pas se sentir rejeté, car notre enfant ignore nos suggestions
▶️ ne pas déserter et être démissionnaire face à son petit qu’on ne reconnait plus.
La position d’allié, un juste équilibre entre les deux extrêmes
La posture d’allié permet d’atteindre cet équilibre. Patty Wipfler, fondatrice de l’approche Hand in Hand, indique que le piège à éviter par excellence, c’est de croire que notre adolescent est « le nôtre », et l’explique très bien dans son ouvrage « Soutenir les adolescents » :
Lorsque nous, parents, considérons nos adolescents comme « les nôtres », nous risquons d’être désorientés quant à la nature de notre relation avec eux.
La vie de nos adolescents leur appartient. Ce n’est pas à eux de nous rendre fiers, mais à nous d’être fiers d’eux, quelles que soient leurs difficultés avec lesquelles ils se débattent. Ce n’est pas à eux de nous faire plaisir, c’est à nous d’être satisfaits d’eux, même lorsque leurs expériences ne sont pas tout à fait judicieuses. C’est à eux de développer un jugement sain, de prendre l’initiative d’améliorer leur vie, d’apprendre les bonnes pratiques et de s’engager dans la bonne voie. Et c’est à nous de les soutenir dans ces efforts.
✨ En tant que parent, il ne nous est pas possible de faire à leur place. Mais nous pouvons être à leurs côtés et les encourager.
✨ Nous ne pouvons pas faire preuve de jugement à leur place. Mais nous pouvons poser des limites quand leur jugement fait défaut.
✨ Enfin, nous ne pourrons pas les empêcher de traverser des moments difficiles. En revanche, nous pourrons leur offrir notre écoute et notre présence, pour panser toutes leurs peines.
C’est un peu ça le rôle d’allié.
Devenir l’allié de son adolescent en 7 défis
Mais passons aux travaux pratiques : j’espère que tu as de quoi écrire avec toi et que tu as pu imprimer ou ouvrir la feuille de route que je t’ai préparée pour ce podcast.
C’est tout bon ? Alors on y va : mon but ici est de t’équiper au mieux face à cette fameuse crise d’adolescence.
Étape # 1 : quels sont les derniers moments complices que ton adolescent et toi avez partagés récemment ?
Pour cette première étape, je vais te proposer de dresser une première liste : attention, elle n’a rien d’évident.
Je te propose de te rappeler les moments complices que ton adolescent et toi avez eus dans les sept derniers jours et de les noter dans une liste.
J’entends par moment complice :
💕un fou rire partagé
💕un moment de détente vécu ensemble
💕un film qui vous a vu sourire tous les deux,
💕une réflexion partagée par ton ado et qui t’a semblé pertinente (et tu lui as dit)
💕un merci qui vous a fait du bien à tous les deux
💕un service rendu
Ça peut aussi être un moment où il ne s’est rien passé d’exceptionnel, mais où vous étiez juste bien tous les deux, et qui a renforcé votre relation pour le reste de la journée par exemple.
Pour te donner un exemple, nous étions à table avec mes enfants, et mon fils m’expliquait ces tactiques de négociation au Monopoly, que je te trouvais plus que douteuses. Et plus je les trouvais douteuses, plus il exultait, et moins je pouvais l’arrêter…
En même temps je dois dire que j’étais assez impressionnée par sa créativité — et il le sentait également. Bref : un moment parti de rien, mais très sympa.
Résultat : à la fin du repas, tout le monde était dans une humeur assez légère, et le débarrassage du dîner s’est fait en famille, sans heurts et sans réticence quelconque-ce qui est plutôt rare.
📝 A TOI DE JOUER : prend ton style et remplis l’étape #1 de ta feuille de route.
Étape # 2 : quels sont les échanges, que tu juges important d’avoir avec ton ado, mais qui tournent mal et agissent comme des coups de canif dans votre relation
Bon, désolée.
Là, ça va être un peu moins sympa 🫤
Je vais te demander de lister les moments que le qualifierais de « moisis » que tu as passés avec ton adolescent dans les sept derniers jours. En particulier, tous ceux où tu lui as demandé où dit quelque chose qui te paraissaient essentiel, à toi.
Je te propose de piocher dans les registres suivants :
◾️ Il peut s’agir de réflexions négatives faites sur son apparence, ses habits, ses copains, ce qu’il mange, le temps passé sur les écrans.
◾️ Ça peut être aussi des tentatives de micromanagement au quotidien (genre « mets ta serviette quand tu manges », « tu as bien pris ta gourde pour ton entrainement de foot ? »).
◾️ Ou sinon, a vérification des devoirs ou le rappel des tâches du quotidien, mais qui tourne au vinaigre.
◾️ Tu peux aussi piocher dans les commentaires montrant ta déception, quelle que soit la raison
◾️ Pourquoi pas aussi toutes les fois où tu as partagé ton avis non sollicité
◾️ Mais également les moments où tu as déchargé tes sentiments négatifs sur ton adolescent (alors que lui, il n’y était pas pour grand-chose)
◾️ Enfin, cela peut venir du cercle infernal de punitions et de récompenses dans lequel tu fonctionnes avec ton ado.
Il a quelques semaines, j’ai animé un atelier pour les parents de l’école de mes enfants sur le sujet de nos réactions face à la crise d’adolescence, et je les ai invités à remplir le même questionnaire que celui sur lequel tu travailles.
En arrivant à la fin de ma seconde question, une des mamans me demande, perplexe : « Et.. C’est normal d’avoir une liste beaucoup plus longue pour la deuxième liste ? »
Et la réponse est : je ne sais pas si c’est normal, mais fréquent, oui 🫣 !
Je pense que c’est représentatif de notre façon de voir notre relation avec notre ado : on se rappelle beaucoup plus facilement les mauvais que les bons moments. On est aussi plus enclins à resserrer la vis avec notre ado qu’à passer des instants sympas avec lui.
A TOI DE JOUER : prend ton style et remplis l’étape #2 de ta feuille de route.
Étape # 3 : quels sont dans les éléments de la liste ci-dessus, les attitudes que tu pourrais abandonner
Nouveau défi — et encore une fois, pas des plus simples, j’en conviens !
Je te propose de sélectionner dans la liste que tu as dressée précédemment (celle de tes attitudes qui font que les choses tournent au vinaigre avec ton enfant), trois réactions dont tu pourrais te défaire : choisis peut-être celles qui sont le moins impactantes pour la bonne marche de la vie de famille.
Je t’invite maintenant à indiquer comment tu te sens quand tu te projettes les bannissant du quotidien : ressens-tu de la frustration ? De la colère ? Un sentiment d’isolement ? De rancœur ? De frustration ? Je te laisse noter tout ça.
Quand moi, je me suis attelée à cette série de défis, j’ai pris dans ma liste un élément qui était peu important pour la vie de famille, mais qui déclenchait beaucoup de frustration de ma part : le fait que mon fils ne range pas sa chambre par lui-même.
En le notant sur ma liste, je me disais : « mais en fait, ne plus le lui demander, c’est un peu facile !! Il vit quand même chez moi, et c’est hors de question qu’il transforme la maison en une porcherie ! » Bref, tu l’auras compris, il y avait un vrai inconfort de ma part.
Attention l’idée ici, n’est pas réellement de lever le pied sur certaines obligations auxquelles tu soumets ton adolescent. Il s’agit juste de te questionner sur les sentiments que cela provoque en toi… et d’aller au bout de ce questionnement.
A TOI DE JOUER : prend ton style et remplis l’étape #3 de ta feuille de route.
Étape # 4 : que se cache-t-il derrière ces sentiments
Je te propose d’aller un pas de plus dans ton enquête, et d’essayer de découvrir ce qui se cache derrière ce sentiment que tu as à l’idée de ne plus avoir tel ou tel comportement avec ton enfant :
Tu peux t’aventurer seul dans cette étape, mais si tu le peux je t’invite fortement à le faire durant un moment d’écoute avec un autre parent, que nous appelons Partenariat d’écoute dans l’approche Parentale Hand in Hand.
Je t’invite à aller écouter l’épisode 10 de mon podcast pour en savoir en petit peu plus à ce sujet.
Si je reprends mon exemple précédent, il s’avère que pour moi, garder une chambre propre et rangée est un signe de respect, non seulement à mon égard, mais également envers tous les invités qui viennent chez nous. Or, mon fils a des cours de musique toutes les semaines à la maison, et il me parait essentiel que sa chambre soit rangée quand son prof arrive. Je me dis que par là, le prof, lui aussi, se sent respecté.
D’où ma colère quand sa chambre est dans un état déplorable.
Et puis en creusant davantage, il y a aussi peut-être un sentiment de honte 🙈 à l’idée que quelqu’un d’extérieur voit que notre maison n’est pas rangée. Une sorte de peur du regard des autres en quelque sorte.
Et ça, ça n’a pas grand-chose à voir avec mon fils !
Je t’invite donc à avoir cette réflexion.. Jusqu’au bout : peut-être va tu voir alors émerger que le point qui t’exaspère chez ton adolescent, a au final beaucoup plus à voir avec tes propres angoisses, que son développement à lui !
A TOI DE JOUER : prend ton style et remplis l’étape #4 de ta feuille de route.
Étape# 5 : réinjecter de la connexion
Maintenant que tu as réalisé que certaines de vos prises de bec peuvent être liées à des déclencheurs que tu as en toi (mais qui n’ont pas grand-chose à voir avec ton enfant), passons à une étape un peu plus sympa : je vais te proposer de réinjecter une dose de connexion dans la relation que tu vas avoir avec ton ado.
Et attention, il va falloir la jouer fine.
D’autant plus que tu ne vas plus pouvoir réutiliser les recettes qui pouvaient marcher quand ton enfant était plus jeune.
Tu as sans doute remarqué que plus petit, il suffisait de consacrer des moments de jeu assez intenses, mais limités dans le temps à ton enfant pour que cela permette de renforcer le lien qui vous unissait : une séance de tir au but, ou des paniers de basket, voir regarder ensemble une petite vidéo humoristique, et le tour était joué.
Avec ton ado, les choses changent. Il ne va plus s’agir de programmer des petites doses intenses de moments privilégiés avec ton enfant, mais plutôt d’offrir une présence en pointillé à ton adolescent, en mode : « je suis là, au cas où. »
Décider de façon unilatérale les modalités selon lesquelles tu vas passer du temps avec ton adolescent va être source de frustration pour toi.
Et tu as sans doute déjà remarqué que ton ado se confie beaucoup plus quand tu t’y attends le moins : le soir au moment du coucher, dans la voiture après son cours de danse…
Je t’invite donc à noter pour ce cinquième défi, les petits moments de la semaine où tu décides de te rendre disponible pour lui justement « en pointillé ». Par exemple, pour ton ado, il va y avoir une grosse différence entre entendre « Je bosse ce samedi, je serai dans mon bureau si tu as besoin de quoi que ce soit », et « je n’ai pas prévu grand-chose ce samedi, je serai juste à la maison ».
Les trajets en voiture sont typiquement des occasions à saisir : je connais même des parents qui font des détours pour rentrer chez eux quand leur préadolescent se met à parler, afin de profiter de ce moment privilégié le plus longtemps possible.
A TOI DE JOUER : prend ton style et remplis l’étape #5 de ta feuille de route.
Et petite remarque : pas besoin d’en parler à ton ado. Plus c’est officiel, et moins cela le mettra en confiance. Par ailleurs, souviens-toi : nos ados se confient à nous quand ils se sentent en sécurité, pas nécessairement quand c’est le moment opportun pour eux.
Étape # 6 : Connecter avant de… corriger
Pour cette étape, je vais te proposer de reprendre ta liste établie lors de l’étape 2, et qui correspond à des limites que ton enfant a tendance à dépasser régulièrement.
Mais avant de te détailler cette nouvelle étape, laisse-moi te faire un petit rappel : quand un adolescent se sent bien dans ses baskets, il est proche de ses copains, curieux, partant, et est capable de prendre des décisions qui font sens dans sa vie.
Ce ne sont pas forcément les meilleures à tes yeux de parent, mais disons qu’elles sont pertinentes pour lui et démontrent la confiance qu’il a en lui et dans les autres.
En revanche, quand ton adolescent se sent mal (quelle que soit la raison), sa faculté de jugement en prend un coup et peut s’accompagner d’un sentiment d’isolement, de confusion ou de découragement.
La réaction traditionnelle que, nous, parent, pouvons avoir face à ce qu’on considère comme une crise d’adolescence, consiste alors à donner des conseils, le critiquer ou bien lui monter à quel point son attitude nous déplait.
Et pourtant, tu l’as sans doute expérimenté : ça ne fonctionne pas vraiment.
À la place, notre adolescent a besoin de notre soutien, de savoir que nous voyons ses difficultés que nous lui fixions une limite qui lui permettra lors de se débarrasser de toutes les tensions qu’il a en lui.
Poser des limites avec un adolescent, c’est tout un art, que je t’engage à planifier : à vrai dire, je pourrais faire un épisode entier dessus ! Mais pour maintenant, je te propose de te lister les éléments clés à avoir en tête.
Déjà, plutôt que de le faire à la volée, prépare-toi, et anticipe la conversation avec un autre adulte à qui tu peux confier l’objet des discussions que tu aimerais avoir.
Ensuite, fais cela sous la forme d’un rendez-vous que tu fixes à ton adolescent et partage lui exactement de quoi tu souhaites parler.
Il est très probable que tu deviennes la cible de ton ado à mesure que tu lui expliques la limite que tu vas fixer (par rapport à un temps d’écran, à une heure max de sortie, ou que sais-je).
Et c’est là également qu’il va falloir te préparer à une tournure des choses qui a souvent été mal comprise dans nos sociétés : face à ses parents, cette façon qu’à un ado de crier, de hurler, d’insulter, etc., jusqu’à arriver au bout de sa crise, a souvent été perçu comme un signe de faiblesse, de perte de contrôle de soi, ou d’impulsivité. Je ne pense pas que ce soit le cas. Au contraire, cette capacité qu’à un ado d’exploser de la sorte, face à un adulte référent, c’est le signe qu’il est en train de faire usage de cette faculté de guérison qu’il a en lui.
Dans ces moments-là le plus utile à faire en tant que parent et d’offrir notre écoute, comme un contenant permettant à la colère de sortir. Je t’invite donc à anticiper la façon dont les choses peuvent tourner, afin d’avoir un coup d’avance et ne pas te sentir visé personnellement.
Enfin, prépare toi à ce que le problème ne se règle pas du jour au lendemain : les choses peuvent prendre du temps, et peut être faudra-t-il plusieurs séance avant que les nœuds émotionnels de ton adolescent se défassent.
A TOI DE JOUER : prend ton style et remplis l’étape #6 de ta feuille de route.
Etape # 7 : Après l’effort, le réconfort 😉
Bon ! Cette étape-là était de taille ! Du coup pour terminer cette feuille de route, je t’ai prévu quelque chose de beaucoup plus sympa : je vais te proposer de réfléchir aux traditions familiales et aux moments de tête-à-tête que tu peux offrir à ton adolescent, la meilleure antidote aux moments de crise.
Ça peut être des week-ends un peu spéciaux que vous passez ensemble, un sport que vous faites à deux, des diners que vous prévoyez et concoctez tous les deux…
L’idée, c’est d’entretenir la connexion avec ton ado via des petits moments réguliers et planifiés du quotidien.
En revanche, tiens-toi prêt : il peut arriver que ce soit précisément dans ces moments-là que les crises se déclenchent. Car c’est quand la sécurité est là que ton ado décidera de travailler sur lui plus en profondeur : ne te laisse pas désarçonner !
Chez nous, on a institué les vendredis jeux de société : on invite alors une autre famille, et c’est parti pour une soirée pizza-jeux tous âges confondus. Il y a également le c’est pas sorcier du samedi matin, les croissants du dimanche, ou bien le foot du vendredi après-midi au parc.. bref, ce ne sont que nos exemples à nous en ce moment :
📝 A TOI DE JOUER : prend ton style et remplis l’étape #7 de ta feuille de route.
Te voilà maintenant arrivé·e au bout : ta feuille de route est maintenant complète; À toi de la suivre !
Rappelle-toi bien de la position d’allié que je te propose avec ton adolescent. Elle n’est pas facile, car elle est bien distincte de ce que nous avons nous-mêmes connu quand nous étions ados.
Et pourtant, si tu la trouves, elle est incroyablement soutenante pour ton enfant.
Alors garde ce PDF complété dans ton téléphone, ou accroche là au-dessus de ton bureau, et dans tous les cas, je t’invite à t’y référer toutes les fois où tu sens des couacs 🫤 dans votre relation à tous les deux, ou que tu sens qu’il te faut du courage pour faire face à la crise d’adolescence de ton enfant.
Bonne route en tout cas : ton ado a de la chance de t’avoir pour allié !
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Et si tu avais une feuille de route pour faire face à cette période si compliquée de la crise d’adolescence de ton enfant ? Je te l’offre et et dévoile le détail de chacune des étapes !